Chaque jour qui passe dévoile un peu plus la cabale montée contre la République à travers ce dossier qu’il convient de nommer contrat chinois
Pendant que la partie rejette le rapport de l’inspection générale des finances, IGF, sans apporter la preuve contraire, mais s’agite oute mesure en se faisant trop mal chaque fois qu’on évoque le contrat chinois, la partie congolaise continue de créer.
Pas d’ombrage dans cette affaire qui engage le gouvernement congolais et un groupement d’entreprises chinoises !
La justice congolaise vient de recevoir le rapport de contre-expertise des travaux effectués par le BUREAU TECHNIQUE DU CONTRÔLE de l’Etat( BTC).
A en croire ce rapport, sur 822 millions USD libérés par SICOMINES pour les infrastructures, seuls 300 millions USD retracés.
522 millions USD manquent au compte. Coincés par ces conséquences qui mettent à nu la supercherie dans ce fameux contrat qualifié hideusement de win-win,
les Chinois chargent L’AGENCE CONGOLAISE DES GRANDS TRAVAUX (ACGT) et Moïse EKANGA, Coordinateur du BCPSC
A la lumière de ce rapport qui corrobore les conclusions de l’IGF, on se rend compte de deux évidences :
1. La gouvernance du pays etait confiée entre les mains de sans cœurs qui ont mis en avant-plan leurs intérêts personnels.
2. Le président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi est venu pour pister le pays sur la voie de développement.
Le choix des Congolais qui agissent pour la matérialisation de la vision de chef de l’État dérange l’entreprise des criminels financiers.
Les Congolais, à l’unanimité, crient au rééquilibrage des gains pour rétablir la RDC dans ses droits dans cette affaire d’Etat, contrat chinois.