Tous les moyens sont bons pour éliminés un adversaire politique. Et pourtant, Jules Alingete se situe bien loin du terrain politique. Son action démarre et c’est pourquoi on lui en veut. Après l’avoir physiquement, monté toutes les attaques les plus sordides, ces ennemis viennent d’exhumer une nouvelle arme, mais qui finit comme un pétard mouillé. La trouvaille, c’est faire croire à l’opinion que Jules Alingete a des ascendances sénégalaises par son pater. Faux ! Celui qui a tissé ses inepties ne saura produire aucune preuve. De plus, elles ont été débitées par une langue pendante et un homme en délire qui ne sait pas toujours ce qu’il est et ce qu’il veut réellement.
Les allégations distillées dans les médias autour des origines de Jules Alingete Key, inspecteur général chef de service de l’Inspection générale des finances (IGF) sont fausses et dénouées de tout fondement.
Le député national Daniel Safu a affirmé dans les médias et réseaux sociaux que Jules Alingete serait né d’un sénégalais. Ce qui n’est d’ailleurs sa première forfaiture. Il est notoirement connu comme quelqu’un qui a toujours diffamé de hautes personnalités, depuis l’époque il était dans la presse active.
Les Congolais ne sont pas étonnés que ces informations erronées soient déversées dans les médias par Daniel Safu, l’homme qui, pour un oui ou non, n’hésite pas à s’attaquer gratuitement à de paisibles citoyens. Il monte des affabulations, affirme des incongruités dans un style dont lui seul détient l’art.
Si pour sauver son mentor Katumbi de la loi Tshiani ou loi sur la congolité, Safu doit choisir ses cibles et surtout bien agencer des arguments massues pour alimenter le débat citoyen à l’hémicycle où sera ouvert ces discussions, à l’inscription, mieux l’ajout de cette loi au calendrier des matières de la session de mars 2023.
Car, il faut convaincre et non verser dans l’insulte ou les attaques injustifiées contre d’honnêtes personnes, ou encore chercher à déplacer le débat sur oui ou non la loi sur la congolité vaut la peine d’être examinée, à l’heure qu’il est.
Le député Safu ne gagne rien en cherchant à déstabiliser un haut fonctionnaire de l’Etat qui, du reste, n’a rien d’accointances avec la sphère politique où se dessine le cadre pour les discussions autour de la loi Tshiani.
Pour tordre le cou aux hérésies distillées dans le seul but de nuire à un haut fonctionnaire de l’Etat qui ne fait que son travail, Netic-news.net se permet de réunir, pour ses lecteurs, les éléments sur les origines de l’inspecteur général chef de service de l’IGF
Contrairement aux affabulations de Daniel Safu,Jules Alingete Key est né de l’union entre papa Key Mushenie Philippe et maman MputuBongila Marie. M. Philippe Key est né à Bendela en 1920 et décédé le 2 juin 2010 à l’Hôpital Marie Biamba Mutombo Dikembe à la suite d’une tumeur de cerveau. Chef coutumier de Bendela, il est de Kutu, Mfuimi-Lukenie, Lac Maïndombe.Actuellement, c’est la sœur cousine de Jules Alingete qui exerce la fonction de chef coutumier de Bendela.
Maman Mputu Bongila Marie, née en 1939 à Mushie au Lac Maindombe, est encore en vivante. Elle réside au n° 21, quartier Banunu II dans la commune de Matete.
Jules Alingete Key est un Kinois né le 25 juin 1963 à l’Hôpital Mama Yemo, aujourd’hui, Hôpital général de Référence de Kinshasa. Il passe son enfance à Barumbu jusqu’à l’âge de 6 ans, puis à KIingabwa de 7 à 14 ans et de 14 ans jusqu’à ce jour, il réside à Matete.
Gauthier Sey