C’est devenu habituel pour le chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi. A chacune de ses sorties médiatiques, Félix Tshisekedi parle en bien de l’Inspection générale des finances (IGF).
C’est d’une empreinte indélébile que ce service marque le premier quinquennat du chef de l’État. Ce qui laisse voir que l’IGF et son chef de service sont bons élèves de Félix Tshisekedi, en train de matérialiser sa vision de lutte contre la corruption et le détournement des deniers publics, car ce service applique à la lettre les instructions du chef de l’État, etant donné d’ailleurs que l’IGF est un service rattaché à la Présidence de la République.
Devant Tina Salama, sa porte-parole, Félix Tshisekedi a jeté des fleurs à l’IGF. Sur la question du contrat chinois, Félix Tshisekedi a fait savoir qu’il a été invité à débattre du dossier sur la base du rapport de l’IGF, élément déclencheur du nouveau round des discussions de ce contrat qualifié faussement de win-win.
En tout état de cause, l’IGF serait l’un des services, si pas le seul qui donne entière satisfaction dans l’accompagnement de ses missions pour que le chef de l’État évoque à chacune de ses sorties le travail de l’IGF qui est, du reste, salué par la nation entière.
Gauthier Sey
